Après ma dernière attaque, les gravats qui s'étaient brisés contre la paroie avaient laissés dans l'air un épais nuage de poussière qui masquait l'état de la cage. Je reprenais mon souffle en attendant de voir le résultat, vu la dureté du verre, cela m'aurais beaucoup étonné de l'avoir brisé. Quelques seconde plus tard, la poussière avait commencé à retomber, laissant entrevoir la cage, toujours intacte.
La panique me submergea. Si même mon pouvoir n'avais aucun effet contre ce verre, tout était fichu ! Une personne que j'aimais allait mourir à cause de ma faiblesse, encore une fois. Je devais trouver un moyen d'ébrécher ce verre ! Je réfléchissais un moment. Comme le verre n'est que du sable chaud, mon pouvoir devait aussi fonctionner sur lui ! Je pourrais sans doute créer une brèche pour qu'elle puisse respirer. J'apposais ma main sur le rebord du cube et "scannais" sa composition. Comme je le pensais, ce verre n'étais pas naturel. Ses composants étaient beaucoup trop compact.

Qui ne tente rien n'a rien.

Je me concentrais, et projetais mon pouvoir pour ébrécher le verre.

En ce jour de Saint-Valentin, Cloclo n'avait pas vu Corentin de la journée et commençait à s'inquiéter de sa disparition. C'était le jour de la Saint-Valentin, ils avaient rendez-vous, Corentin ne pouvait pas lui poser un lapin. La jeune fille attendit longtemps, puis décida de retourner chez elle. Elle alluma sont ordinateur et commença à surfer sur le net quand elle vit un message s'afficher en bas à droite de son écran, de la part de Cupidon. Elle se dit que c'était surement un virus, elle décida donc de ne pas l'ouvrir. Mais sa curiositée l'emporta. Elle cliqua et ouvrit le mistérieux e-mail qui disait que son petit ami avait été enlevé par Cupidon et où il se trouvait. Cloclo se dit que c'était une blague et se mit à rire puis elle téléphona à Corentin pour lui faire part de cette blague. Mais il ne répondait pas. Elle rappela plusieurs fois, mais personne ne répondait. Elle commença donc à s'inquiéter et se rendit à l'endroit indiqué par le mail. Quand elle arriva, elle vit son petit ami dans une cage de verre, Cupidon à ses côtés, se moquant d'elle. Cloclo n'apprécia pas du tout que l'on enferme Corentin, le jour de la Saint-Valentin en plus et s'écria :
-Pourquoi faîtes-vous ça ?
Elle n'attendit pas la réponse et se mit à frapper sur la cage de verre de toute ses forces. Elle appelait son pouvoir. Ses mains s'enfflamîrent, et elle continua de frapper de toutes ses forces, la colère et son pouvoir aidant.

[HRP: J'arrive tard dis donc !]

Je fus repoussé violemment, et m'écroulais au sol. Ma vue était floue, ma tête tournais, je sentais que j'allais vomir. L'utilisation de mon pouvoir étais a proscrire sur ce verre. Je me relevais péniblement, le trop plein d'information que j'avais reçu avais atténué mes sens. Je restais quelque seconde debout en me tenant au rebord de la cage, et mon regard se posa sur la jeune femme emprisonnée à l'intérieur. Je devais sortir Alice de là à tout prix ! Mes je n'avais rien qui puisse vraiment endommager ce verre. Je faisais rapidement l'inventaire des solutions qui s'offraient à moi, j'avais utilisé mon pouvoir sans résultat, et mon épée n'étais pas plus efficace. J'aperçus mon sac. Une dernière solution s'offrait à moi, peut-être que l'épée de feu que je transportais serais plus efficace, je n'avais rien à perdre à essayer de toute façon. D'un geste rapide, je sortais l'épée de mon sac, puis après avoir assuré ma prise sur celle-ci, je donnais un coup violent à l'endroit exact qu'avaient touchés mes deux autres coups d'épée. Au moment de l'impact, les flammes qui recouvrirent la lame de l'épée éclairèrent la pièce de couleurs rougeoyantes.

Cloclo continua de taper de toutes ses forces, ses poings lui faisaient mal, mais elle continuai, il fallait qu'elle sauve Corentin ! Elle continua donc à taper, de toutes ses forces, une petite fissure apparut. Cette fissure lui servait de preuve comme quoi elle réussirait ! Elle tapa encore et encore en criant de douleur. Mais elle ne lacha pas et continua à taper de toutes ses forces. Elle voulait réussir, elle voulait briser cette cage à la seule force de ses poings, elle voulait libérer son petit ami. Elle tapa encore un peu puis s'arrêta, pour reprendre ses forces et son souffle. Elle commençait à être très fatigué mais continua. La fissure qui était apparut plus tôt s'élargit, mais la cage ne s'ouvrit pas et Cloclo, à bout de force, s'écroula par terre. Elle se reposa quelques instants puis se releva et repartit au combat.

Cloclo n'en pouvait vraiment plus, elle était à bout de force, très fatiguée, épuisée. Elle s'écroula par terre et s'endormit. Elle savait qu'elle n'avait pas de temps à perdre, mais elle savait aussi que si elle ne se reposait pas, elle ne pourrait jamais continuer à taper comme cela sur cette cage de verre. Elle dormit donc pendant 1 petite heure puis se réveilla. Elle se mit debout, s'étira et pris du recul avant de foncer sur cette cage. Elle espérait que son pouvoir se montrerai, car elle en avait vraiment besoin et que si il ne se montrera pas, elle s'explosera les mains sur cette cage. Elle courrait en direction de la cage, quand son pouvoir apparut. Elle reprit confiance en elle et donna un grand coup sur le verre, qui commença à fondre, sous l'effet de la chaleur. Corentin était bientôt sauvé. Elle continua à taper, pour briser ou faire fondre la cage de verre ...

Cloclo n'allait pas arrêter là ! Elle était très en colère, que ce petit cupidon ai petit-aminappé son copain et qu'en plus il le nargue, avec ses petites ailes, à voleter au dessus de cette cage en verre les clés à la main. Elle frappa donc, recula, pris son élan et frappa, re recula ... Pendant très longtemps, puis épuisée, elle s'arrêta. Ses points n'étaient décidément pas d'une très grande aide. Elle se resaisit, se dit qu'elle peut y arriver et tapa de toutes ses forces sur la cage de verre qui emprisonnait Corentin. Elle tapa de toutes ses forces et une autre fissure apparut.
[HRP : Désolée c'est très court, mais on a des invités alors je doit quitter]

Au moment de l'impact, les flammes que dégageaient l'épée me léchèrent le visage, sans me brûler toutefois. Surpris par la puissance dégagée par la lame, je reculais de quelques pas. La puissance de mes coups avait grandement augmentée grâce à elle. En d'autre circonstances, j'aurais sans doute pris le un moment pour analyser cet arme et son fonctionnement, mais le temps me faisait cruellement défaut. J'observais l'endroit où je venais de frapper. Le verre y était maintenant fondu en partie, il me restait donc bien une chance de briser cette cage dans les temps. Je jetais un nouveaux coup d'œil à l'intérieur de la cage où se trouvait Alice. Elle n'avais toujours pas bougée.

Je ne devrais pas perdre de temps ! Tu va voir Alice, je vais te sortir de là ! Je la briserais quoi qu'il m'en coûte ! Après quoi j'éclaterais le cinglé qui t'a fait ça !

Une fois encore, j'attaquais de toutes mes forces la prison de verre.

[desolé pour les fautes (ce n'est pas digne du correcteur! TT_TT) mais je n'ai vraiment pas le temps et si c'est trop vulgaire (même si j'ai esayé de ne pas l'etre faite moi signe!]

Ma nouvelle attaque fit voler des éclat de verre dans toutes les directions. Je touchais au but, je le sentais. La cage qui emprisonnait Alice allait bientôt se briser et elle serait enfin libre. Nous pourrions encore passer des moments ensembles, à rire et se raconter des histoires. J'avais besoin d'elle, de savoir qu'elle serait à mes côtés, un moment encore. Mais avant que tout ceci ne se réalise, j'avais encore certaines choses à faire. A commencer par vaincre le démon qui l'avait enfermé. Je jetais un coup d'œil derrière moi, un ange et un jeune homme s'affrontaient. Jusque là, j'avais été tellement absorbé par la démolition de la cage que je n'avais même pas vu le début du combat.

Tiens bon Alice, je c'est bientôt fini !

Puis je frappais la cage de toute mes forces. Ce cauchemar devais prendre fin !

Mon poing me faisais souffrir. Je m'étais laissé guider par ma rage pendant un moment, et c'est ma main qui en avait pâti. Je repris l'épée de feu d'une main tremblante, le sang coulait légèrement au niveau de mes jointures. Je me sentais ridicule, l'ennemi avais réussi à me blesser physiquement sans m'approcher. J'avais pendant un moment perdu le contrôle de mes émotions, ce qui m'arrivais rarement. Et comme d'habitude, cela était loin de servir mes intentions. J'arrêtais de me flageller mentalement pour me concentrer sur la situation.

Je prenais une grande inspiration, il était temps de briser cette cage ! Je tenais maintenant la garde de mon épée à deux mains, je voulais éviter au maximum qu'elle ne m'échappe. Les flammes de l'épée se renforçaient, en même temps que ma détermination. Je reculais afin de prendre mon élan, fonçais vers la prison, et lui assenais un nouveau coup. L'épée de feu avais tellement d'énergie que cela en devenait effrayant.

Je me sentais faible, j'avais utilisé beaucoup d'énergie pour en arriver là. L'épée de feu devenais glissante dans ma main, le sang s'était arrêté de couler, mais il avait imprégné le manche de l'épée et m'empêchais d'avoir une bonne prise. Je m'arrêtais un moment pour reprendre mon souffle, la liberté d'Alice était si proche, j'avais pourtant l'impression qu'il me faudrait un miracle pour venir à bout de cette cage. Mais il n'y en aurait aucun, le seul qui puisse faire quelque chose ici, c'était moi. Toujours endormie au fond de sa prison, Alice n'avait pas bougée. Je hurlais de rage. Il était peut-être trop tard ? Peut-être que son manque d'oxygène l'avait tué ? Une fois encore, j'aurais laissé mourir une personne qui comptais pour moi.

Pas question ! Je la sauverais. Je l'ai promis !

Titubant, je me redressais, et tenant l'épée de feu à deux mains, je l'abattis sur le verre. Le vent brûlant au moment du choc faillit me faire tomber. Mais je restais impassible, plaquant toujours la lame enflammée contre la cage pour la faire fondre.

Je levais la lame de l'épée de la cage afin de voir où j'en étais. Le verre avait presque entièrement fondu là où j'avais appliqué l'épée. Je souriais, pas besoin d'utiliser mon pouvoir pour deviner que le verre allait bientôt se briser. Alice serais donc bientôt libre, et je n'aurais plus qu'à m'occuper du pervers ailé à moitié nu ! Je jetais un regard derrière moi. Le jeune homme était toujours en train de se battre contre l'ange. Vu l'ardeur avec laquelle il combattait, il pouvait attendre que je finisse d'éclater la prison. J'eus un brusque regain d'espoir, je n'avais aucune chance contre Cupidon seul, mais avec lui, j'y arriverais sans doute. Comme il était écrit dans un de mes livres, "l'union fait la force". Mais je devais commencer par sortir Alice de là. Prenant à deux mains mon épée de feu, je la brandissais pour la dernière fois en direction de la cage. Puis, d'un mouvement ample, je l'abattis sur le verre.