Je souhaite bien entendu participer :) !!
Et pour mon petit ami... Hm... Je vais prendre un imaginaire du nom de... Stefan ! ( référence à Stefan Salvatore dans Vampire Diaries =$ )

Je souhaite participer aussi.
Comme petite amie, je vais dire qu'elle s'appelle Caroline (imaginaire également). :lol:

J'aimerais participer ^^
Comme nom de petite amie, je prend Alice. ( imaginaire :))

Bon bah je participe! XD

Aqua? Es tu d'accord?

Je participe.
Comme nom de petit ami je prends ... (cherche désespérément un prénom pas trop pourri) Corentin (imaginaire)

Bon bah je prend Aqua alors! *regard suspicieux à tous les autres hommes sur le forum* :suspect:

Cet après-midi là, Yann pensait aller rejoindre Caroline à l'endroit qu'ils s'étaient indiqués quelques jours plus tôt pour fêter la St-Valentin, juste eux deux. Mais au moment où il arriva sur les lieux, il n'y avait personne.

Tiens, étrange. Elle est toujours en avance d'habitude.

C'est à ce moment qu'il vit une espèce de lettre accroché à l'arbre qui leur servaient de point de rendez-vous.
C'est, le visage horrifié, qu'il pris connaissance de celle-ci.

Elle a été enlevée ?

Il se rendit immédiatement sur le lieu indiqué par la lettre.
Une fois sur place, il vit une sorte de cage en verre, à l'intérieur de laquelle il y avait ... Caroline.

-"CAROLINE !!"

il couru vers elle, au bord des larmes.

-"Tu n'as rien ? Tu n'est pas blessée ?"

Ouf, elle a l'air d'aller bien.

-"Éloigne-toi le plus possible."

A ce moment il pris son bâton en main, le fit tourner avec les deux mains pour lui donner un maximum d'élan, puis donna son coup par le côté, en plein dans la cage.

La nuit commençait a tomber. La semaine touchais à sa fin, et comme à mon habitude, j'étais parti rendre visite à Alice, qui habitais une maison un peu à l'écart de la ville. Nous ne nous connaissions que depuis quelque mois, mais je me sentais irrémédiablement attiré par elle. Je n'avais pas encore osé lui en parler, et je garderais probablement ça pour moi encore un moment.

Je n'arrive pas à assumer les sentiment que j'éprouve pour elle. Je ne fais que fuir cette situation que je juge dérangeante.

Mais bien que j'en soit conscient, je n'avais aucune envie d'agir.
Finalement, j'arrivais en vue de son logis. Contrairement à d'habitude, aucune fumée ne sortait de la cheminée. Il n'y avait donc personne ? Soudain, l'angoisse me submergea. Ce n'étais pas normal, il lui était sans doute arrivé quelque chose ! Je pressais le pas de plus en plus, jusqu'à arriver devant la porte. Il y avait là un bout de papier, coincé dans la cadre. Je me décidais à le lire. Et restais stupéfait. Alice avait été enlevée.

Ma grimace laissa la place à un sourire mauvais. Le type qui avais écrit cette lettre étais inconscient. Il indiquait l'endroit où elle étais maintenue prisonnière. Je fis craquer mes jointures.

Il ne sait pas ce qui l'attend. Le pauvre.

Quelque instant plus tard, j'étais à l'endroit indiqué. Alice était là, prisonnière d'une prison de verre, évanouie. Je hurlais son nom. Aucune réaction. Elle devait avoir du mal à respirer là dedans. Je devais agir au plus vite. Je prenais mon épée à deux mains, et l'abatis de toute mes forces sur la cage.

Je regardais la cage de verre à l'endroit où je venais de frapper. Je distinguais à peine la différence avec le reste de cube. Une éraflure, c'est tout ce que j'avais réussi à faire. Je me sentais impuissant. Mon bras était endolori a cause du choc. Je sentais que briser cette cage me serais difficile, je reculais de quelques pas.

Je n'y arriverais pas seul. Je dois aller chercher de l'aide. Mais le village est à quelques minutes, est ce que j'ai le temps d'y aller ? Je ne peux pas prendre de risque.

Je regardais de nouveau Alice, que le manque d'oxygène avait fait s'évanouir. Il était urgent de la sortir de là. Je ne pouvais pas perdre mon temps à trouver des renforts, j'étais le seul qui pouvais briser cette prison dans l'immédiat. Et j'étais bien déterminé à réussir, je ne pouvais pas laisser une autre personne que j'aimais mourir en refusant d'agir. Même si cela signifiais que je devais révéler mon pouvoir. Mais si je pouvais l'éviter, je ne devais pas prendre de risque. Si mon prochain coup n'avait pas plus d'effet, je serais contraint de l'utiliser. De nouveau, je levais mon épée et frappais la cage en poussant un hurlement.

[HRP: Voila, je l'ai refait ;) ]

Mon bras me faisais encore plus mal maintenant. Je n'aurais pas dû réessayer d'endommager la cage en utilisant mon épée. Si je continuais ainsi, je ne pourrais plus utiliser toute ma force, et il me serais impossible d'atteindre mon objectif. Je pris une grande inspiration pour me calmer, et commençais à réfléchir à la situation. En fait, la solution était plutôt simple. Il suffisait que j'arrive à faire une petite brèche dans la cage pour qu'elle puisse respirer. J'observais celle que j'aimais, son état devais être critique. Le temps jouait contre moi. Je regardais rapidement l'endroit où je venais de frapper, l'éraflure étais légèrement plus nette, mais c'était toujours insuffisant. Je reculais de quelque pas.

-Je vais te sortir de la. Alice.

Je posais ma main sur le sol, et me mis à courir vers la cage. Ma main qui frottais par terre, faisait onduler la roche, puis, je frappais le verre, et le sol qui s'était soulevé derrière moi vint violemment se briser contre la cage. Des gravats volèrent en tous sens.